Mnica Oltra ouvre à igo Errejn le projet unitaire à gauche du PSOE que poursuit Yolanda Daz

Le vice-président valencien et leader de Comproms considère cette alliance comme « un projet collectif » dans lequel Mme Madrid ne peut se passer.

Le vice-président Oltra, sur TVE.
Le vice-président Oltra, sur TVE.EM
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Le vice-président valencien et leader de Comproms, Monique Oltra, Il a tendu la main il y a quelques semaines au vice-président du gouvernement Yolanda daz tisser des alliances à gauche du PSOE capables de le défier à la direction, mais dans ce projet il veut aussi igo Errejn. « C’est un acteur politique de première ligne dont on ne peut se passer », a-t-il déclaré dans une interview à La Hora de la 1 de TVE, dans laquelle il a reconnu que « ce serait bien » de se passer des acronymes pour former un « collectif ». projet. »

« En politique, on dit beaucoup et très peu écouté », a déclaré Oltra, qui a demandé à s’adresser à cet assemblage « sans apriorismes, sans lignes rouges » et en s’asseyant pour écouter « avec moins d’ego ». Ainsi, il était d’accord avec Daz en suggérant que le point de départ est « l’écoute ». En fait, il a refusé d’aborder le projet en termes électoraux puisqu’il préfère « parler de politique que d’élections » : « L’excès de l’électoralisme tue la politique », a-t-il affirmé.

Botnic « à l’épreuve des bombes »

Le vice-président ne voit pas élections à l’horizon proche. Il est plutôt « raisonnable, possible et probable » de terminer la législature de la Communauté valencienne pour se concentrer sur la « gestion », bien qu’il ait souligné que, comme cette pandémie l’a enseigné, « on ne sait jamais ce qui pourrait arriver ». « Il est important de garder cet enseignement pour être plus humble et ne pas se croire omnipotent », a-t-il affirmé.

En ce sens, il a insisté sur le fait que le Botnic conserve sa « santé de fer » et qu’il est « le plus stable de l’histoire de l’autonomie gouvernementale. Ce n’est pas synonyme de division », a-t-il précisé.

En fait, j’ai défendu « ne pas prétendre à une unanimité qui n’existe pas » car « l’imposture est la première chose que le citoyen ne veut pas, mais elle exige d’être sincère, loyaux les uns envers les autres et de mettre notre énergie à parvenir à des accords, ce qui se fait en cherchant un terrain d’entente ».

En ce sens, concernant les relations entre les Comproms et les socialistes, il a commenté la nécessité de respecter les « opinions plurielles » dans un gouvernement quand, d’ailleurs, « même pas dans un même parti il ​​y a unanimité ». Pour cette raison, « il existe différentes manières de diagnostiquer un problème et de projeter une solution au sein d’un projet commun et cela enrichit ».