Le public madrilène défend que le cartel Vox faisait partie de « la lutte idéologico-partisane légitime »

Ratifie le dossier de l’affaire contre Vox à la demande du procureur de Madrid

L'affiche électorale déposée par Vox à la gare
L’affiche électorale placée par Vox dans la station Sol dans la campagne des élections autonomes à Madrid le 4 mai.ANDRS RODRGUEZ
  • Justice Le tribunal de Madrid soutient l’affiche électorale de Vox contre les mineurs immigrés : « Ils sont un problème social évident »

Le tribunal provincial de Madrid a approuvé dans une nouvelle résolution l’affiche électorale de Vox déployée lors des dernières élections dans laquelle il a comparé une pension de retraite avec le montant économique que les mineurs étrangers non accompagnés reçoivent sur une base mensuelle en insistant sur le fait qu’il suppose « un message électoral « adressée à un groupe « plus nombreux » que les soi-disant menas.

Cela est indiqué dans une voiture, à laquelle Europa Press a eu accès, dans laquelle la deuxième section a accepté de rejeter l’appel déposé par le parquet de Madrid, l’association citoyenne progressiste « Progresa », PSOE, Podemos, Izquierda Unida et la coalition United On peut voter contre l’ordre qui a déposé le dossier ouvert contre la formation dirigée par Santiago Abascal.

Le 29 avril, le tribunal d’instruction n° 53 de Madrid a décrété le non-lieu provisoire de la procédure ouverte par la soi-disant « affaire du cartel des menas ».

Le juge a conclu que les procédures devaient être archivées car « rien n’indique que les événements dénoncés soient révélateurs d’une infraction pénale ».

Plus précisément, la résolution comprend qu’il n’y a pas de crime de haine ou de crime électoral dans les messages que le parti politique Vox a diffusés lors de la campagne électorale liée aux élections à l’Assemblée de la Communauté de Madrid, tenues en mai dernier ; fondation qui est maintenant ratifiée par la Cour provinciale.

La Chambre s’est déjà prononcée dans un sens juridique similaire il y a deux semaines concernant l’appel des mesures conservatoires dans cette même affaire.

Maintenant, il expose dans une nouvelle résolution, parmi d’autres raisonnements juridiques, que l’affaire est incardinée dans « la lutte idéologique-partisane légitime dans le cadre d’une compétition électorale où les excès verbaux commis les uns par les autres constituent un maximum d’expérience ». acteurs politiques ».

De la même manière, les magistrats rappellent que « dans l’ordre pénal, les interprétations à l’encontre d’un prévenu sont interdites, lorsqu’il y a d’autres explications qui ne sont pas forcément pénales ».

Ainsi, il souligne que « l’affiche qui fait l’objet de polémique doit ‘être interprétée comme un message électoral adressé à un groupe beaucoup plus large que les menas ».

Dans l’ordonnance précédente, les magistrats ont souligné que « que les chiffres proposés soient vrais ou non » par rapport aux menas, ce groupe représente « un problème social et politique évident, même avec des conséquences ou des effets sur nos relations internationales, car il est notoire ».