1.- Enthousiasme du gouvernement pour les « s » de Junqueras à « l’opération grâces » : ils croient que cela apaise la critique interne
Depuis quelques semaines, le Gouvernement remplit la réserve de grâces aux dirigeants de la procs. Mais face aux inquiétudes, externes – avec les critiques de l’opposition – et internes – avec le PSOE divisé en deux – ont rendu nécessaire une bouée de sauvetage qui permettrait de montrer qu’il y avait de l’eau et que l’Exécutif, du moins pour le moment , pourrait rester à flot. La lettre d’Oriol Junqueras, approuvant la mesure de grâce, est considérée par le gouvernement comme une étape importante, un mouvement important.
2.- Deux témoins soutiennent une plainte contre Errejn pour avoir donné un coup de pied dans le ventre à un homme de 67 ans à Madrid
La victime de 67 ans a demandé un selfie à la dirigeante de Mme Pas, qui a refusé et lui a donné des coups de pied, selon la plainte. La police nationale a transmis le rapport à un tribunal de Madrid. Les sources de la formation d’Errejn nient les faits
3.- Bruxelles approuve le plan de relance de l’Espagne dans les 10 prochains jours
Il transfère en Espagne qu’il donnera le ‘ok’ définitif au plan de relance en milieu de mois et pourra compter sur les fonds contre la pandémie
4.- Les heures les plus tendues dans la concentration de la sélection : « Mais comment cela a-t-il pu se passer ?
L’incertitude préside à l’isolement de la sélection, bien que lundi les tests PCR se soient révélés négatifs. Les internationaux vivent à l’extérieur et s’entraînent individuellement
5.- Le radar record de Madrid : six millions d’euros d’amendes par an
Le plus beau cinéma de Madrid se trouve au kilomètre 19 de la M-30. L’année dernière, il a imposé une moyenne quotidienne de 167 pénalités pour excès de vitesse. Le deuxième en amendes est la section radar de l’A-5
6.- Vicente del Bosque : « ‘Il y a des coachs très dogmatiques qui pensent qu’ils connaissent l’enfer, et puis tu grattes et il n’y a rien »
A 22h58 le 11 juillet 2010, tous les Espagnols sont devenus fous. Iniesta a franchi la ligne d’arrivée et le chaos a éclaté. Des cris et des câlins, des larmes et des verres renversés. Tout le monde est fou. De Johannesburg à Albacete, d’un salon du Finisterre à un bar de Tarifa, d’une dame coincée à Pedralbes à un garçon poilu à Lavapis. Tout le monde est fou. Toutes les personnes? Soudain, la télévision s’est focalisée sur le banc espagnol et là, dans l’œil du cyclone, un homme qui aurait pu naître à Londres et porter un bonbon à la place de Salamanque et porter une moustache, du flegme pur, se limitait à serrer légèrement les poings et suivre le sien, comme si, au lieu du déluge universel, quatre gouttes tombaient. « Je pense que j’ai été ravi de la célébration », plaisante Del Bosque. Est-ce que vous plaisantez? Assurance?