Pablo Iglesias fait du PSOE un complice et demande « de diviser les efforts » pour « arrêter les ultras » lors des élections

Le prochain candidat de United We Can à la Communauté de Madrid demande que chaque force de gauche « joue le rôle qu’elle doit jouer » pour aspirer à une coalition

Le deuxième vice-président du gouvernement, Pablo Iglesias, a récemment ...

Le deuxième vice-président du gouvernement, Pablo Iglesias, récemment au Congrès.
EFE

  • 4-M.


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  • Politique

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Il a d’abord tendu la main à Mme Madrid, puis il l’a fait avec le PSOE. Le vice-président du gouvernement et leader de United We Can, Pablo Iglesias, qui a annoncé ce lundi sa volonté de se porter candidat aux élections de Madrid le 4 mai, a ouvert la porte aux socialistes pour former un gouvernement de coalition de gauche. à Madrid.

Iglesias a appelé ses partenaires gouvernementaux à diviser les efforts pour vaincre la droite. Si nous sommes capables de répartir les rôles vus dans d’autres accords, a-t-il expliqué, nous pouvons arrêter les ultras, en référence au pacte possible entre PP et Vox pour gouverner dans la Communauté de Madrid.

De cette manière, Iglesias a insisté sur sa volonté d’unir les différentes forces qui composent la gauche en transformation pour gagner aux élections: il faut que ce soit ensemble, a-t-il insisté.

Si le PSOE de ngel Gabilondo remplit son rôle en interrogeant une partie de l’électorat de Ciudadanos ou du Parti populaire, clarifiez, il est probable que les forces progressistes sortiront plus fortes du passage des urnes.

Chacun des partis progressistes de Madrid doit jouer son rôle. Ainsi, avec un électorat activé par les différentes options, on peut s’additionner pour former un gouvernement de coalition de gauche, d’une manière similaire à celle convenue entre les socialistes et les socialistes. violets, qui aide une partie des électeurs à se «réveiller» et à décider de participer aux élections. « On ne peut pas dormir », a-t-il souligné en référence à son objectif de mobilisation de l’électeur.

Concernant son annonce dans laquelle il a exprimé son désir d’assister aux élections conjointement avec Mme Madrid, Iglesias a souligné que, malgré les « cicatrices » ou « rancunes » existant entre les deux parties, il est de son devoir de parvenir à une alternative solide de gauche. l’électorat madrilène veut, quelque chose qui a été considéré comme un « booster d’illusion ».

Contacts imminents

D’autre part, il a annoncé qu’il établirait ce mardi des contacts avec le président du gouvernement, Pedro Sánchez, et le leader de Mme Madrid au niveau régional, Monica Garcia, à qui il a proposé des primaires ouvertes.

Iglesias a souligné que dans les semaines à venir, et avant de se consacrer exclusivement à la campagne, il a pour objectif de mettre en œuvre la loi sur le logement, bloquée dans les négociations à Moncloa mais qu’il entend utiliser comme bélier aux élections de Madrid.

Le deuxième vice-président sera toujours candidat, mais Alberto Garzn aurait pu l’être, comme Iglesias lui-même l’a reconnu, car c’était l’une des options envisagées.