L'intérieur recommence à limiter les communications des prisonniers dans les prisons en raison du risque de coronavirus

Mardi,
25
août
2020

16:04

Le département de Marlaska suspend les communications intimes, familiales et de coexistence dans les prisons de sept communautés autonomes

Le ministre de l'Intérieur Fernando Grande Marlaska, lors d'une session

Le ministre de l'Intérieur Fernando Grande Marlaska, lors d'une session au Congrès.

David Castro
  • Direct.

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L'incidence du coronavirus a provoqué la ministre de l'Intérieur a dû prendre des décisions restrictives en milieu carcéral. Ainsi, selon le Secrétaire général des établissements pénitentiaires À partir d'aujourd'hui, les communications intimes, familiales et de coexistence sont suspendues – celles qui ne sont pas effectuées via un centre d'appels – dans les prisons de Madrid, pays Basque, La Rioja et Navarre, dans les prisons de Majorque et Zuera, dans Saragosse, et dans le Centre pénitentiaire de Valence-Antoni Asuncin.

Comme expliqué dans un communiqué officiel, la décision, d'une validité initiale de trois semaines, est prise après une étude au cas par cas de la situation des centres dépendants de la Administration générale de l'État, sur la base des dernières données épidémiologiques fournies par le Centre de coordination des alertes sanitaires et des urgences du ministère de la Santé.

Depuis des jours maintenant, le syndicat CSIF il mettait en garde contre le risque d'infections dans les prisons. Bien que les cas apparus soient minimes, la possibilité d'une incidence plus élevée est claire.

À l'intérieur, au moins pour le moment, il maintient les communications à travers un salon avec une cloison. De plus, il annonce son intention de renforcer les appels vidéo pour atténuer les effets de cette restriction.

Interior explique qu'au cours des dernières semaines, il a écouté les propositions envoyées par les prisons et a émis des recommandations spécifiques pour chacune d'entre elles.

Il a également rappelé les nouvelles mesures normales qui ont été prises en juin et juillet: quarantaines sanitaires de sept à dix jours pour les détenus qui entrent en liberté ou rentrent en congé, utilisation obligatoire d'un masque après des communications spéciales, éloignement social, etc. …

Pendant l'état d'alerte, l'impact du Covid-19 sur la population privée de liberté était quatre fois plus faible que celui de la population générale. Au cours des trois mois de détention, 85 positifs de détenus et de détenus ont été enregistrés. Dans les un peu plus de deux mois qui se sont écoulés depuis la fin de l'état d'alarme, le nombre cumulé de positifs parmi la population carcérale est de 31, la majorité asymptomatique et détectée, en pratique, tous après le retour des permis ou l'admission de la liberté. Parmi les officiels, le nombre cumulé de positifs depuis le 21 juin est de 36.

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