Les conseillers de Moreno marqueront les ministres Sánchez pour qu’ils se conforment aux 86 exigences andalouses

Ils demanderont un calendrier sur les revendications andalouses, avec un financement régional comme principal cheval de bataille

Antonio Sanz, entre les réalisatrices Patricia del Pozo et Catalina Garc
Antonio Sanz, entre les réalisatrices Patricia del Pozo et Catalina García.@AndaluciaBoard
  • politique Le PP porte le clash sur le financement régional à la Moncloa
  • prendre possession Moreno ira « pour tous » cette législature, avec une « voix forte » pour la défense d’Andaluca

Les 13 conseillers du gouvernement andalou, présidés par le populairer Juanma Moreno, fera un étroit marquer les ministres afin qu’ils s’engagent à réaliser les 86 demandes que le président andalou a transférées ce jeudi à Moncloa au Premier ministre, le socialiste Pedro Sánchez.

Voilà comment ça s’est passé ce vendredi Antonio Sanzministre de la Présidence, de l’Intérieur, du Dialogue social et de la Simplification administrative, à l’issue du deuxième Conseil de gouvernement de la nouvelle législature qui a débuté après les élections du 19-J.

Le gouvernement andalou ne veut pas que la rencontre entre Juanma Moreno et Pedro Snchez reste un simple acte « officiel » et, pour cette raison, dans les prochains jours, chacun des conseillers contactera les ministres pour demander des « réunions sectorielles » au cours desquelles le gouvernement central clarifiera sa position sur les 86 revendications andalouses et établira un calendrier et certains délais pour s’y conformer, s’il en est ainsi convenu.

Le cheval de bataille des revendications de la Junta de Andaluca est le financement régional car le modèle actuel est « obsolète » et fait perdre à la communauté andalouse quelque 1 000 millions d’euros chaque année.

Alors que la réforme du modèle actuel est abordée, le gouvernement Moreno mais aussi l’exécutif valencien, présidé par le socialiste Ximo Puig, souhaitent que l’exécutif central arbitre un fonds de nivellement temporaire doté de quelque 1 700 millions d’euros pour indemniser les quatre collectivités les plus mal financées. : Andalousie, Valence, Castille la Manche et Murcie.

Sanz a indiqué qu’ils demanderaient une réunion du Conseil de politique fiscale et financière au cours de laquelle les communautés siègent avec le gouvernement pour analyser cette question.

Nouvelle loi

Lors de sa réunion de ce vendredi, le Conseil des gouverneurs a approuvé le projet loi d’alerte précoce en Andalousie, avec laquelle la Régie entend garantir cette prestation aux enfants de 0 à 6 ans souffrant de troubles du développement ou risquant d’en présenter.

C’est une loi que le ministre de la Santé, qui dirige maintenant Catherine García, était pratiquement terminée depuis la dernière législature. Ainsi, la première loi reçue par le Parlement andalou, qui préside Jessica Aguirece sera celui qui émane, justement, du ministre de la Santé qu’il dirigeait lui-même sous la dernière législature.

La nouvelle loi impliquera la coordination de trois domaines : Santé et consommation, Développement éducatif et formation professionnelle et insertion sociale, Jeunesse, famille et égalité. Cette norme accorde un rôle « fondamental » aux familles et s’engage à enquête sur les diagnostics pour plus de précision lorsqu’il s’agit d’aborder la prise en charge des mineurs.

« Il surgit après un processus de dialogue avec le famillesentités, associations et les professionnels du secteur eux-mêmes », a souligné le Conseil.

En 2021, ils ont été soignés en Andalousie 19 418 mineurs dans les services d’intervention précoce. Sur la base de cette population cible, la nouvelle loi estime qu’avec huit séances par mois et par commerce, en Andalousie près de 1,9 million de séances par an seraient atteintes, avec un budget proche de 51,5 millions d’euros.

plus d’enseignants

Le nouveau Ministre du Développement Scolaire et de la Formation Professionnelle, Patricia du Puitsa annoncé ce vendredi que le système éducatif andalou aura presque 5 000 enseignants de plusdont 4 320 correspondent à des centres publics et 490 au réseau concerté.

Cette augmentation des effectifs permettra, entre autres, de maintenir le chiffre de la coordonnateur de la santé dans les centres éducatifs, renforcer la formation professionnelle, améliorer les performances scolaires des élèves et réduire l’absentéisme scolaire, ainsi que fournir du personnel pour le plan de transformation numérique de l’éducation, selon le conseil.

Le Conseil d’administration a approuvé l’accord par lequel le personnel enseignant est élargi. Concrètement, sur les 4 320 enseignants du public, 1 700 seront dédiés à tâches de renforcement. Par ailleurs, les 400 enseignants de Pédagogie Thérapeutique et d’Audition et Langage sont maintenus afin d’améliorer la prise en charge des corps étudiant vulnérable.

Il sera également pourvu de 199 autres orienteurs au programme d’unités d’accompagnement et d’orientation personnelles et familiales, qui vise à soutenir les élèves ayant des difficultés à répondre aux exigences de l’éducation formelle, ainsi qu’à surmonter les obstacles créés par le système éducatif, assure le conseil.

De même, le ministre renforcera la VÉTÉRINAIRE avec 769 enseignants supplémentaires pour le prochain cours. L’effectif structurel augmentera de 719 agents en FP pour répondre à l’augmentation de l’offre et des places de ces enseignements et les 50 enseignants seront maintenus pour la prospection en Double FP.