« Il s’est une nouvelle fois incliné devant Yolanda Daz », critique le secrétaire général du PP, Teodoro Garca Egea
Le PP relève les responsabilités et pointe Pedro Snchez dans le « problème » généré par les déclarations d’Alberto Garzn sur la viande espagnole, car il est un président « faible » et est « incapable de gouverner » son propre Conseil des ministres et de le destituer dans un manière « flétrissante ».
Par conséquent, la populaire Ils avertissent qu' »il ratifie indirectement le poste » pour ne pas avoir pris la décision de le licencier. « Il s’est une nouvelle fois incliné devant Yolanda Daz », a critiqué le secrétaire général du PP, Teodoro Garca Egea.
Le numéro deux du PP a dénoncé que Snchez ne peut procéder à la destitution car il est président du gouvernement « à moitié » dans ses fonctions, puisqu’il « n’a aucun contrôle » pour « cesser ou avertir » Garzn en raison de la polémique générée par son déclarations dans un environnement britannique. « Le problème n’est pas Garzn, mais Pedro Sánchez », a-t-il insisté.
Lors d’une conférence de presse après la réunion de l’exécutif national du PP, à laquelle Pablo Casado a participé après s’être remis du Covid, Garca Egea a prévenu Sanchez qu’il devait choisir entre s’il était « avec les éleveurs » ou s’il était avec Garzn. « Vous ne pouvez pas être aux deux endroits en même temps », a-t-il déclaré.
Le PP redouble de pression contre « un ministre sans pouvoirs et désormais incompétent » et l’accuse d’avoir perpétré une « attaque » sur un secteur très important. Pour cette raison, les déclarations critiques des ministres socialistes ne suffisent pas et il appelle à une position décisive de la part du PSOE car il pense que le chef de la Consommation « devrait être hors du gouvernement pour le bien de l’Espagne » et pour l’« image extérieure » d’un secteur de l’élevage « qui ne mérite pas les insultes » de Garzn.
En ce sens, le PP a présenté hier au Congrès la désapprobation de Garzn afin qu’au-delà des déclarations dans les médias, les ministres critiques et députés socialistes « se présentent » politiquement en désavouant Garzn. Quelque chose que le PP veut se produire en parallèle dans le reste des institutions municipales et autonomes du pays, où il a également présenté des motions de censure du ministre.
En effet, demain jeudi, l’initiative présentée dans les Cortes de Castilla-La Mancha sera débattue, où devra voter le président Emiliano Garca-Page, l’un des barons qui a réagi avec le plus de force.