La session plénière du Congrès votera le plan d’économies d’énergie et deux autres décrets le 25 août

Dans la même session, le feu vert sera donné aux lois sur la science et la liberté sexuelle que le Sénat a modifiées en juillet

Chambre du Congrès.
Chambre du Congrès.EFE

La Plénière du Congrès tenir la semaine prochaine, le 25 août, une session extraordinaire pour valider le plan avec les mesures d’économie et deux autres décrets-lois, ainsi que trois projets de loi que le Sénat modifiées en juillet dernier, parmi lesquelles la loi sur la science et la loi sur la liberté sexuelle.

Des sources parlementaires ont confirmé que le Gouvernement a demandé la tenue de cette Assemblée Plénièrequi revêt un caractère extraordinaire étant donné que la Constitution établit que les mois de juillet et d’août sont hors période ordinaire des sessions.

Le président du Congrès, le socialiste Meritxell Batet, sera celui qui convoquera la session plénière jeudi prochain matin à neuf heures. Et selon la demande du Gouvernementl’ordre du jour comprendra le débat et le vote du trois derniers décrets-lois approuvées par le Gouvernement, qui bien qu’elles soient déjà en vigueur, doivent être validées par le Congrès dans les 30 jours suivant leur publication.

Parmi eux, le décret-loi sur les mesures de durabilité économique dans le domaine des transports, qui comprend le plan d’économies d’énergie dont les premières mesures ont été appliquées depuis la semaine dernière. Est session plénière extraordinaire servira également à vos dames de se prononcer sur le décret qui met à jour la législation de base sur les incendies de forêt et qui exige une planification annuelle de la préventionapprouvé au début du mois, et sur celui contenant le nouveau système de cotisation pour les travailleurs indépendants, approuvé fin juillet.

AMENDEMENTS QUE LE PSOE N’ENVISAGEAIT PAS

Mais cette séance ne servira pas seulement à la validation des décrets, mais servira aussi à approuver définitivement les Loi organique pour la garantie intégrale de la liberté sexuelleconnue sous le nom de loi « seul s est s », la loi sur la faillite et la loi scientifique.

La Gouvernement J’étais convaincu que le Sénat approuverait ces règlements avant les vacances d’été, mais lors de la séance plénière qui s’est tenue la troisième semaine de juillet, le Chambre haute introduit plusieurs amendements et les textes doivent revenir à la Congrès. L’amendement introduit à la loi promu par le ministère de l’Égalité a été signé par Junts et a été adopté avec les votes de PP, ERC, Ciudadanos, Mme Madrid et Coalicin Canaria, entre autres.

C’est un complément à préambule de la loi pour faire comprendre qu’il poursuit « la violence sexuelle la plus cachée » comme forcer un avortement ou une stérilisation. Le texte est sorti de Congrès mentionnant comme tels les « cas d’avortements forcés et de stérilisations », mais Junts a réussi à le changer en « avortements forcés et stérilisations » pour préciser que l’adjectif devait couvrir les deux pratiques et préciser que les avortements non forcés ne peut être considéré comme de la violence.

LA LOI SUR LA FAILLITE, HORS DÉLAI

La Plénière du Sénat elle n’a pas non plus été en mesure de donner son feu vert en juillet à la nouvelle loi sur la science, la technologie et l’innovation. Dans ce cas, il a été empêché par l’incorporation d’un Amendement PPsoutenu par ERC, Junts, PNV, Union du Peuple de Navarre (UPN) et Vox.

Aile Loi concursive Trois amendements soutenus par le PP, ERC et la Gauche Confédérale, Citoyens et une partie du Groupe Mixte ont été déposés. Est projet normatif envisage des réformes dans le domaine de l’insolvabilité pour disposer d’instruments agiles et efficaces qui améliorent les procédures d’insolvabilité et facilitent le maintien d’entreprises viables.

Elle vise également à transposer la directive européenne sur les restructurations et l’insolvabilité, un texte qui aurait dû être intégré dans le Système juridique espagnol en juillet 2021. Devant l’impossibilité de respecter ce délai, le Gouvernement a demandé une prolongation de douze mois supplémentaires, mais cette fois-ci elle n’est pas non plus arrivée à temps.