La Cour suprême rectifie et accepte de revoir les grâces accordées par le gouvernement aux dirigeants des ‘procs’

Il examine les recours formés contre son propre refus de revoir les mesures de grâce accordées aux leaders indépendantistes.

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Le leader de l’ERC, Oriol Junqueras, lors de la conférence de presse au siège du parti républicain.EFE
  • défi de l’indépendance La Suprême rejette la récusation du magistrat clé pour revoir les grâces des ‘procs’

Le Cour suprême Il change ses critères et décide maintenant de revoir l’octroi des grâces aux dirigeants indépendantistes catalans. La Chambre Contentieuse-Administrative du Tribunal de Grande Instance a convenu ce mardi d’estimer les recours en réexamen déposés par les plaignants contre la décision de ce même tribunal de rejeter la légitimation active de celui-ci pour faire appel des mesures de grâce accordées par le Gouvernement de Pedro Sánchez aux promoteurs 1-O.

Selon des sources judiciaires rapportées à EL MUNDO, avec trois voix pour et deux contre, la Haute Cour rectifie et reconnaît désormais la légitimité de PP, Cs,voix Oui Coexistence civique catalane s’éloignant ainsi de la jurisprudence antérieure qui supposait un bouclier de facto pour le gouvernement lors de l’octroi des grâces.

De leur côté, les magistrats ont unanimement rejeté le recours déposé par l’entité Pro Patrimonium Sijena et Jérusalem.

Le changement de critères de la Chambre ne peut se comprendre qu’à partir de la variation des magistrats qui composent la Cinquième Section. Comme le révèle ce journal trois jours après le refus de la Cour suprême de revoir les mesures de grâce, l’entrée du magistrat conservateur Verger d’Ins le tribunal a fait pencher la balance en faveur de l’estimation des ressources pour le réapprovisionnement.

Des sources judiciaires expliquent que les magistrats ont voté pour Fernando Roman, Wenceslao Olea Oui Potager et contre l’admission des appels Octavio Herrero Oui Ange Arozamena. Les magistrats dissidents ont annoncé la formulation d’un vote séparé.

Ainsi, la cinquième section de la troisième chambre étudiera le fond de l’affaire, c’est-à-dire si les mesures de clémence accordées à l’ancien vice-président de la Generalitat Oriol Junqueras, l’ancien ministres Josep Rull, Jordi Turull, Joaquim Forn, Ral Romeva et Dolors Bassa, l’ancien président du Parlement de Catalogne, Carme Forcadell et le Jordís, Jordi Cuixart et Jordi Snchez, ont été ajustés à Law. La Chambre, à une faible majorité, a reporté la résolution dans le processus de détermination de la peine du prononcé sur le manque de légitimité des appelants soulevé par le procureur général dans tous les appels.

Les arrêtés royaux du Conseil des ministres où les grâces ont été accordées ont fait l’objet d’un appel par les partis politiques Vox et le Parti populaire ; l’ancien délégué du gouvernement en Catalogne, Enric Millo; plusieurs députés de PP de Catalogne en privé; trois députés citoyens ; et les associations Coexistence civique catalane et Pro Patrimonium Sijena et Jérusalem.