PNV réduit les changements de Snchez aux « motivations internes » du PSOE mais continuera à le soutenir jusqu’en 2023

Les nationalistes préviennent qu' »ils continueront de veiller sur les engagements acquis » après avoir constaté qu’Iceta ne continue pas à négocier les transferts promis

Pedro S
Pedro Snchez et Andoni Ortuzar se saluent au siège du PSOE devant Jos Luis Balos et Idoia Mendia.Antonio Hérédia

Le président du PNV, Andoni Ortuzar avait publiquement affirmé Pedro Sanchez une nouvelle impulsionpoliticien au cours des deux années de législature pour accélérer les transferts engagés vers le Pays Basque, soutenir le Propositions basques aux fonds européens récupération et ouvrir un processus de réforme du modèle territorial dans une relation « bilatérale » entre Euskadi et « l’État ». Après la refonte de l’Exécutif, les nationalistes interprètent que les changements obéissent « les principales motivations internes du PSOE » et non à la « propre action politique de l’Exécutif », selon les sources du PNV. La direction du PNV, dirigée par Ortuzar, analysera en profondeur ce remodelage la semaine prochaine et ses conséquences immédiates, qui ne répondent pas aux attentes du partenaire le plus fidèle de Sanchez.

La première analyse du PNV part de « Je respecte » aux changements mais ne transmet pas l’enthousiasme loin de la fête qui a été mouillée par Snchez en 2018 et l’a toujours soutenu. nationalistes basques évaluera « les actions et actions futures » Le nouveau cabinet de Sanchez, mettant en avant les accords déjà signés avec les socialistes. Le parti d’Ortuzar a tenu à souligner qu’« il maintient intact sa vocation de dialogue et de collaboration avec le gouvernement de Pedro Sánchez «  comme l’a souligné le leader nationaliste ces dernières semaines.

Une approbation pour épuiser la législature actuelle qui vise à pousser l’exécutif espagnol à « le but d’entreprendre la Des réformes nécessaires dans les domaines social, économique et territorial », selon des sources officielles de PNV.

Parmi les changements apportés par Snchez est surprenant Miquel Iceta à la tête des administrations publiques. Un remplacement qui retardera à nouveau un calendrier des transferts qui a été convenu avec Meritxell Batet, qu’est-ce que j’ai supposé Caroline Darias et retardé par la pandémie et ce Iceta semblait s’être réactivé avec le transfert des trois prisons le 9 mai. Iceta avait été chargée d’établir de bonnes relations avec ses interlocuteurs de l’Exécutif basque, notamment avec le Vice-Lehendakari Josu Erkoreka et avec le ministre de la Gouvernance et de l’Autonomie gouvernementale Olatz Garamendi. Il reste encore une trentaine de compétences en suspens engagées deux fois par Snchez à la fois devant l’exécutif d’Urkullu et avec le pacte signé avec Ortuzar en décembre 2019.

Le PNV, par ailleurs, avait expressément indiqué à Jos Luis Escriv pour son refus à un transfert intégral du revenu minimum vital (IMV) et le ministre de l’Inclusion, de la Sécurité sociale et des Migrations est l’un des rares socialistes à rester dans le nouvel exécutif. Le président nationaliste au Congrès Aitor Esteban J’ai laissé entendre qu’ils feraient contre Escriva une « motion de défiance » et qu’ils augmenteront leur pression politique après le premier document envoyé par le ministère pour négocier un transfert qui sera géré en Euskadi par le leader du PSE-EE et vice-lehendakari Idoia Mendia.

Il n’est pas clair non plus si l’adieu de Jos Luis balos dans Transports lever les doutes sur l’arrivée du TAV en Euskadi, une autre réclamation de PNV qui a été empoisonnée ces dernières semaines questionner quand enterrement compromis de la ligne de chemin de fer en Bilbao et Vitoria. Balos ferme son étape au gouvernement avec des retards injustifiables qui ont été critiqués par le ministre Arantxa Tapia jusqu’en juillet 2020, le PNV et le PSE-EE ont convenu que les transports seraient gérés par le socialiste Iaki Arriola. Conseiller Arriola a annoncé que le « Y » doit être terminé à la fin de 2026 ou au début de 2027 mais les précédents tournent à la lettre morte des prévisions qu’il a été le seul à défendre en public.

Reste à voir comment l’équipe économique de Sanchez gère des projets d’une valeur 18,3 milliards d’euros que le Gouvernement d’Urkullu avec le soutien du PNV a présenté dans son Euskadi Suivant pour obtenir un soutien financier maximal de l’Europe.