La Cour rejette la contestation contre le juge qui a enquêté sur Errejn pour avoir prétendument donné un coup de pied à un homme

L’audience orale contre le leader de Mme Pas, qui dans cette affaire n’est pas concerné par son appréciation car il s’agit d’un délit mineur, n’a pas encore été programmée.

igo Errejn, lors d’une session plénière au Congrès des députés.EFE
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La Tribunal provincial de Madrid a accepté d’écarter l’incident de récusation du magistrat du Tribunal d’Instruction numéro 16, Marguerite Valcarcé, responsable de l’enquête sur le chef de Mme Pas, Igo Errejn, pour la commission présumée d’une infraction mineure de mauvais traitements après avoir été accusé par un voisin de Lavapis de lui avoir donné un coup de pied.

Selon le magistrat du Section un, cette irrecevabilité de récusation intervient alors que la défense d’Errejn n’a pas présenté hier de requête formelle de récusation, comme cela avait été requis et prévu par la loi en matière de cette nature procédurale. Ainsi, la procédure est toujours entre les mains de Valcarce, qui doit désormais rappeler l’audience orale du procès.

Bien que des sources proches de la défense indiquent n’avoir « jamais » eu l’intention de récuser le magistrat, le chef du tribunal avait adressé une lettre à l’instance judiciaire pour décider si elle pouvait ou non juger Errejn après l’avoir enquêté. Le juge s’est rendu à la Cour provinciale après que – comme l’indique l’ordonnance dans laquelle il a été renvoyé au procès – le sous-ministre aurait déposé une plainte concernant la possibilité que le même juge qui a dirigé l’enquête contre lui puisse prendre en charge le procès. .

Dans l’ordonnance par laquelle elle a accepté de renvoyer le suppléant en jugement, la juge Valcarce a demandé aux parties à la procédure de se prononcer sur l’affaire. Par la suite, dans un mémoire du 17 septembre, le juge a soulevé la soi-disant contestation incidente devant le tribunal de Madrid afin qu’il puisse statuer et décider qui devrait juger Errejn. Selon le document, le Poursuivre il ne s’est pas opposé à admettre le défi.

Mais des sources proches de Mme Pas ont expliqué que cette semaine la défense a présenté un mémoire devant le tribunal de Madrid précisant qu’elle n’avait jamais formulé de récusation et a demandé que la nomination pour ratifier un droit (de récusation) qui n’avait jamais été exercé soit annulée. .

L’audience orale contre le député, qui dans ce cas n’est pas concerné par son appréciation car il s’agit d’un délit mineur, n’a pas encore été fixée. Le 25 juillet, Valcarce a rendu l’ordonnance pour laquelle il a renvoyé le dirigeant en justice après avoir transformé la procédure d’un crime présumé de blessures en un crime mineur de mauvais traitements sur la base du rapport médico-légal établi dans l’affaire. « Les faits enquêtés jusqu’à présent peuvent avoir le caractère d’un délit mineur de maltraitance (…) sans avoir prouvé l’existence d’un délit de blessures au vu du rapport médico-légal », a-t-il noté.

Le magistrat a indiqué que ledit rapport indiquait que l’existence de blessures traumatiques aiguës dérivées d’une agression physique n’était pas considérée comme prouvée, ce qui a été décrit comme « un coup de pied d’impact avec la plante du pied dans la région abdominale inférieure ». Pour cette raison, en n’estimant pas les blessures, il les a transformées en une infraction mineure d’abus.

Le crime auquel Errejn est confronté est prévu à l’article 147.3 de la Code pénal et se réfère à celui qui frappe ou maltraite un autre mais sans causer de blessure. Selon la réglementation, il est puni d’une amende d’un ou deux mois.

Déclaration de témoin

Le président du tribunal a accepté de renvoyer le député en jugement trois mois et demi après que le voisin de 67 ans a déposé une plainte auprès du Centre Comisara de Madrid. L’homme a assuré aux autorités policières qu’Errejn lui avait donné des coups de pied qui ont eu des conséquences sur sa santé, notamment sur la hernie inguinale qu’il prétend avoir en raison d’un cancer du côlon.

Dans le cadre de l’enquête, le magistrat a recueilli une déposition du plaignant et d’un des témoins. Des sources présentes à l’interrogatoire ont assuré que tous deux avaient ratifié la déclaration qu’ils avaient faite à la préfecture de police.

Le juge s’est également rendu au Congrès pour lui demander d’accréditer le statut de député d’Errejn et a exigé que le Police scientifique de procéder à une analyse « exhaustive » des images recueillies par les caméras de sécurité qui ont enregistré l’agression présumée du chef envers le voisin de Lavapis.