En direct, Aragons retrouvera en Sardaigne Puigdemont après son arrestation

Père Aragon
Pere Aragons et Carles Puigdemont, en réunion.KENZO TRIBOUILLARDAFP

Le président du gouvernement catalan, Père Aragons, et le vice-président, Jordi Puigner, se réunira ce samedi à Alghero (Sardaigne, Italie) avec Carles Puigdemont pour montrer son soutien, après avoir été arrêté jeudi sur l’île par une ordonnance de la Cour suprême espagnole, et libéré vendredi par la justice italienne.

Puigdemont s’était rendu en Sardaigne pour participer à une rencontre internationale organisée par l’association Adifolk, en compagnie d’autres personnalités comme la ministre de l’Action étrangère de la Generalitat, Victoria Alsina.

9.10 « Affaire Puigdemont » : essaim judiciaire

La nouvelle arrestation – fortuite ou provoquée ? – de Carles Puigdemont en Sardaigne (Italie), elle ajoute les faillites et les questions à la fois à l’Ordonnance européenne de détention et de remise traitée devant une juridiction belge (affaire judiciaire bilatérale hispano-belge), ainsi qu’aux effets de la levée de l’immunité parlementaire.

L’essaim judiciaire trouve son origine parce que l’ordonnance du 30 juillet devant le Tribunal de l’UE (TG) – une juridiction inférieure à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) -, bien qu’elle confirme provisoirement la levée de l’immunité en tant qu’eurodéputé à Puigdemont, se réserve la possibilité de revoir la situation en cas de nouvelle interpellation dans un autre Etat membre que la Belgique ou la France – où il doit exercer son activité de député européen, à Bruxelles et Strasbourg -, mêlant le contentieux préjudiciel en interprétation à la contestation de la levée de l’immunité. Une analyse d’Araceli Mangas.

Lire l’avis complet ici

9.05 Le « Codice Penale » italien : plusieurs crimes dans lesquels le 1-O peut s’intégrer

Les principaux obstacles à la remise de Carles Puigdemont à la justice espagnole sont l’immunité des Eurochambre et la thèse selon laquelle les Eurorders sont suspendus jusqu’à la Cour de l’ue prononcer au revers de la Belgique. Il y en a plus, mais avec un pronostic plus favorable.

Si finalement la justice italienne conclut qu’aucun des éléments ci-dessus n’empêche le traitement de la décision d’arrestation et de remise européenne, elle vérifiera ensuite si les conditions requises sont remplies. Bien qu’il s’agisse d’un système basé sur la confiance entre les pays membres, lorsque la Belgique et Allemagne ils l’ont fait, leur conclusion était non, au moins partiellement.

La clé de la décision serait d’interpréter que les faits pour lesquels le premier est persécuté Président serait également criminel dans Italie, et qu’en outre, ils seraient passibles d’une peine de plus de trois ans de prison. En dessous de ce chiffre, il n’y a pas de remise, ni si la première exigence de double incrimination n’est pas remplie. Un reportage de Manuel Marraco.

Lisez les informations complètes ici.

9h00 Malaise et confusion en Europe : les doutes de l’UE sur l’Eurocommande de Puigdemont

L’arrestation en Italie par Carles Puigdemont a pris par surprise en Bruxelles et surtout dans Luxembourg, siège de Cour de justice de l’UE. Les institutions européennes défendront leurs tribunaux et, s’il y a conflit, l’image de l’Espagne et de la Cour suprême sera encore plus dégradée.» Une information de Pablo R. Suanzes.

Lisez les informations complètes ici

8.30 La Cour suprême espère avec pessimisme qu’un autre pays de l’UE pourra refuser la livraison de Puigdemont

Le match est toujours à la mi-temps et la seconde mi-temps reste à jouer, mais même ainsi, la Cour suprême considère maintenant qu’il est très difficile de remporter une victoire et que le Cour d’appel de Sassari (Sardaigne) accepter de remettre à l’Espagne l’ancien président de la Generalitat Carles Puigdemont.

Si après avoir connu son arrestation dans le Deuxième chambre Le scepticisme s’est installé à la Haute Cour, maintenant cela s’est transformé en pessimisme car il est perçu comme une possibilité plus que réelle que le juge de la Sardaigne refuse à nouveau la livraison de l’ancien président catalan à Espagne. C’était prévisible, maintiennent-ils en référence à la libération de Puigdemont ce vendredi sans mesures conservatoires sur l’île italienne.

Ils circulent librement depuis quatre ans L’Europe , une circonstance qui n’aide pas, indiquent des sources légales. Une information de ngela Martialay.

Lisez les informations complètes ici

8.00 Puigdemont utilise une erreur du gouvernement en Europe pour demander sa liberté

La défense de Carles Puigdemont brandie hier dans Italie les thèses du gouvernement espagnol devant le Tribunal de l’UE pour soutenir sa libération et le refus d’exécuter l’ordre en euros. Concrètement, l’affirmation de la Procureur d’État que l’euro-ordre contre Carles Puigdemont avait été suspendu et qu’aucun pays ne pouvait l’exécuter.

C’est ce qu’a déclaré la représentation de l’Exécutif lorsqu’elle a dû se prononcer sur la demande de Puigdemont de lui accorder l’immunité de précaution que le Parlement européen Je venais de l’enlever. Au moins tant que votre appel contre cette décision est résolu. Une information de Manuel Marraco et Gema Pealosa.

Lire les informations complètes