La Cour suprême cite le secrétaire de l’Organisation Podemos, Alberto Rodríguez, comme accusé d’attaque contre l’autorité

Le juge d’instruction l’interrogera sur sa prétendue agression contre un agent lors d’une manifestation contre le Lomce

Le député de United We Can Alberto Rodr

Le député de United We Can Alberto Rodríguez, dans un comité du Congrès
BASSIN

La Cour suprême a convoqué le secrétaire de l’Organisation Podemos pour déclarer comme enquêté Alberto Rodriguez Rodriguez. Le 28 janvier, à 12h30, le député devra répondre d’un crime d’attaque contre l’autorité et d’un délit ou délit mineur de blessures.

La convocation acceptée par le magistrat Antonio del Moral Il vient après que le Congrès a approuvé en septembre de faire droit à la demande de la Haute Cour de poursuivre la procédure contre la personne classée.

Les faits de l’affaire font référence à des incidents survenus le 25 janvier 2014 lors d’une manifestation contre la LOMCE à La Laguna (Santa Cruz Tenerife). Le Procureur et l’instructeur considèrent qu’il y a des indications que lors de ces incidents aujourd’hui numéro 3 de Podemos a donné un coup de pied à un policier.

L’affaire a été ouverte devant la Cour suprême à la demande de la Cour d’instruction numéro 4 de La Laguna, qui est arrivée à l’époque pour rendre une ordonnance d’ouverture d’un procès oral contre Alberto Rodríguez. La décision a été rendue nulle et non avenue lorsqu’il a été constaté que Rodríguez avait été élu député national et avait été certifié devant la Cour suprême, la seule juridiction qui pouvait agir pénalement contre lui. Le tribunal de La Laguna a ensuite adressé une déclaration motivée à la Haute Cour avec les indications de l’action du parlementaire.

L’instructeur Antonio del Moral a offert au député la possibilité que la loi lui prévoit de déclarer volontairement, sans qu’il soit nécessaire de déposer une requête. Rodríguez l’a rejetée et s’est référée à la déclaration qu’il avait déjà faite devant le tribunal d’instruction de La Laguna alors qu’il n’était pas encore calibré.

Compte tenu de l’existence de preuves d’un crime, l’instructeur de la Cour suprême a estimé qu’il était essentiel d’aller de l’avant avec l’affaire et de demander la demande de prise de déclaration. Le chef de Podemos peut choisir de répondre ou non au juge et au procureur, mais il ne pourra pas empêcher l’affaire d’avancer.

La Cour suprême avait déjà ouvert une affaire en 2017 à Rodrguez pour crime de désordre public, en l’occurrence pour certains événements survenus à La Laguna le 25 décembre 2006. Enfin, elle a déclaré sa responsabilité pénale éteinte, considérant que le crime avait prescrit.